Mon premier métier, c’est la musique. L’orgue, puis la flûte traversière sont mes compagnons quotidiens depuis l’âge de 6 ans. Les études, les concerts, les concours… Comme beaucoup de musiciens, j’ai dû trouver mes propres outils pour faire face au trac.

À 17 ans je découvre la musicothérapie. Elle m’apparaît comme la voie idéale pour allier deux aspects qui me tiennent à cœur : utiliser la musique dans une démarche de soin. Après mes années de formation à l’université et au conservatoire, je deviens musicothérapeute dans différentes institutions et professeure de flûte.

Ce n’est que quelques années plus tard que j’ose enfin aborder l’hypnose. Formée aux thérapies longues, je suis très rapidement séduite et étonnée par son efficacité dans divers troubles, sur des périodes très courtes.
En deux séances d’auto-hypnose, je me débarrasse définitivement de ma peur du vide. Je vis mon second accouchement sous auto-hypnose et prends conscience de l’aide que cela peut apporter, notamment par rapport à la gestion de la douleur.

En consultation, je découvre que je parviens à aider des gens à arrêter de fumer, perdre du poids, retrouver confiance en eux… Et pourtant rien de magique en cela : chacun porte ses solutions en lui, il suffit de l’aider à aller les chercher.
L’hypnose, communication d’inconscient à inconscient, n’est qu’un moyen parmi d’autres pour accéder à l’extraordinaire potentiel de vie qui est en nous.

Optimiste récidiviste, je crois aux capacités de chacun à rebondir lorsque des difficultés se présentent.